samedi, octobre 24, 2009
25 ANS, DÉJÀ
Michel Boujut, saint patron de la critique, disait : "Une autre façon, plus directe, plus vraie et moins emmerdante, de parler des films: dire pourquoi ils nous font battre le coeur". Quand un critique se prête au jeu, se met à nu, les textes deviennent souvent magnifiques. Comme celui de Marc-André Lussier, paru cette semaine dans La Presse, hommage sensible, direct et authentique à François Truffaut, disparu cette année depuis 25 ans. Un texte qu'il fallait souligner.
"Il pleuvait à boire debout. Une fraîcheur d'automne à vous transpercer l'âme et le corps. Alors qu'en ce mercredi de fin d'octobre, Paris s'anime sur la place de Clichy, le cimetière de Montmartre, tout juste à côté, reste tristement désert. Même si je fréquente rarement ce genre d'endroit, j'ai ressenti le besoin de m'y rendre aujourd'hui. Pour honorer une dette de reconnaissance". La suite
Ajout: Libération a aussi mis en ligne le texte original que publiait Serge Daney au lendemain de la disparition de Truffaut, "Un homme qui aimait les films".
"Il pleuvait à boire debout. Une fraîcheur d'automne à vous transpercer l'âme et le corps. Alors qu'en ce mercredi de fin d'octobre, Paris s'anime sur la place de Clichy, le cimetière de Montmartre, tout juste à côté, reste tristement désert. Même si je fréquente rarement ce genre d'endroit, j'ai ressenti le besoin de m'y rendre aujourd'hui. Pour honorer une dette de reconnaissance". La suite
Ajout: Libération a aussi mis en ligne le texte original que publiait Serge Daney au lendemain de la disparition de Truffaut, "Un homme qui aimait les films".
Comments:
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Oui, sauf qu'on peut se demander ce que Lussier a retenu d'intéressant de Truffaut le critique. Rien du tout.
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