vendredi, octobre 19, 2007
Deborah Kerr
Ce matin, on apprenait le décès de l'actrice britannique Deborah Kerr. Elle avait 86 ans et souffrait de la maladie de Parkinson. En 1994, elle avait reçu un oscar pour l'ensemble de sa carrière. Et elle m'avait fait rêver. Enlacés dans le sable avec Burt Lancaster dans From Here to Eternity ou ratant son rendez-vous en haut de l'Empire State Building avec Cary Grant dans An Affair to Remember, elle avait incarné pour moi, jeune ado, le symbole du grand amour passionné, de la romance chavirante.
Bien sûr, il y eut d'autres films, d'autres grands rôles (The King and I avec Yul Brynner, Heaven Knows, Mr. Allison ou The Night of the Iguana de John Huston, ou Quo VadisBonjour Tristesse d'Otto Preminger pour ne citer qu'eux). Mais pour moi, elle restera toujours La femme, d'une élégance totale, d'une intelligence raffinée.
Quand un rêve d'ado meurt, c'est normal d'être triste.
Bien sûr, il y eut d'autres films, d'autres grands rôles (The King and I avec Yul Brynner, Heaven Knows, Mr. Allison ou The Night of the Iguana de John Huston, ou Quo VadisBonjour Tristesse d'Otto Preminger pour ne citer qu'eux). Mais pour moi, elle restera toujours La femme, d'une élégance totale, d'une intelligence raffinée.
Quand un rêve d'ado meurt, c'est normal d'être triste.