vendredi, mars 02, 2007
Si j'avais des ailes...
...je partirais illico à Los Angeles pour plonger dans les délices du Grindhouse Film Festival, un petit événement mensuel consacré au cinéma d'exploitation!
Et pourquoi donc, demanderiez-vous, avec cette insatiable curiosité qui fait tout votre charme? Tout simplement parce que ce mois-ci, la programmation de la chose a été confiée à rien de moins que Quentin-je suis un geek et je m'assume-Tarantino que, dans l'intimité je n'hésite pas à appeler mon héros!
Voyez un peu:
Du 4 au 6 mars:
THE MACK (1973) and THE CHINESE MACK (1974)
Du 7 au 8 mars:
MACHINE GUN McCAIN (1968) and WIPEOUT (1973)
Du 9 au 10 mars:
THE VAN (1977) and PICK-UP SUMMER (1980) and SUMMER CAMP (1979)
Du 11 au 13 mars:
ROLLING THUNDER (1977) and THE TOWN THAT DREADED SUNDOWN (1977)
Du 14 au 15 mars:
CHINESE HERCULES (1973) and BLACK DRAGON (1974)
Du 16 au 17 mars:
SEX WITH A SMILE (1976) and SEX ON THE RUN (1977) and THE OLDEST PROFESSION (1967)
Tirées de ses réserves personnelles, toutes ces copies sont de vraies références du prochain méfait de Quentin Tarantino: GrindHouse (co-réalisé avec Robert Rodriguez, une moitié chacun pour pas faire de jaloux), dont la sortie est prévue le 6 avril. Vous n'imaginez même pas comme j'ai hâte!
Comments:
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Mais parce que je l'aime! Vraiment, sincèrement. Ce type, sorti de nulle part, a donné un bon gros coup de tatane dans le cinéma, et il l'a fait avec tellement de dynamisme que j'en étais toute enjouée.
Son ciné n'est pas parfait, bien sûr, mais il me correspond, je m'y sens comme un poisson dans l'eau. Sauf peut-être Kill Bill dont je persiste à croire que l'idée d'en faire deux films était un flop.
Son ciné n'est pas parfait, bien sûr, mais il me correspond, je m'y sens comme un poisson dans l'eau. Sauf peut-être Kill Bill dont je persiste à croire que l'idée d'en faire deux films était un flop.
Quand on lui a demandé où il avait reçu sa formation cinoche il a répondu qque chose dans le genre: "I went to the theatres, see movies"...
Daccord avec toi sur Kill Bill, le deuxième volet inutile, du gaspillage de pellicule et de talent, un mélange de genres extrême et pas très heureux.
Ce mec, il a poussé comme un champignon vénéneux dans le paysage ciné.Poup!
Un clin d'oeil pour finir:
Génial De Niro dans Jackie Brown ;)
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Daccord avec toi sur Kill Bill, le deuxième volet inutile, du gaspillage de pellicule et de talent, un mélange de genres extrême et pas très heureux.
Ce mec, il a poussé comme un champignon vénéneux dans le paysage ciné.Poup!
Un clin d'oeil pour finir:
Génial De Niro dans Jackie Brown ;)
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