mardi, octobre 07, 2008

 

FNC - LES COUPS DE COEUR

Après une intense cogitation, l'équipe d'ATC est enfin prête à vous dévoiler ses coups de coeur top-super-chouchous parmi la foisonnante programmation du 37e Festival du Nouveau Cinéma. À découvrir.

*Un capitalisme sentimental, d'Olivier Asselin: une fable diablement rusée, entre comédie musicale, expressionnisme allemand et film noir, sur la valeur des humains. Un ovni particulièrement original, surtout dans le paysage du cinéma québécois
*À l'ouest de Pluton d'Henry Bernadet et Myriam Verreault: un regard sur l'adolescence québécoise, comme du Gus Van Sant qui aurait embauché Louis-José Houde comme dialoguiste. Et une tirade qui tue sur Gilles patates...ou patates Gilles
*Afterschool, d'Antonio Campos: un surdoué du cinéma qui observe l'adolescence dorée américaine. Une vraie surprise
*Estomago, de Marcos Jorge: épicurien, rusé et rigolo, un voyage brésilien dans tous les plaisirs de la chair
*Wonderful town d'Aditya Assarat: une méditation mélancolique et quasi-étherée sur les possibilités de l'amour dans la Thaïlande post-tsunami
*Les bureaux de Dieu, de Claire Simon: Simon fait sa Depardon dans ce docu-fiction sur le planning familial. Actrices impeccables et scan social de haute tenue.
*Lady Jane de Robert Guédiguian: le marseillais fait dans le noir corbeau et transforme son Ascaride de femme en héroïne tragique désenchantée et rock'n roll.
*Papa à la chasse aux lagopèdes de Robert Morin: l'interprétation de François Papineau, les dialogues de Morin, une voiture, une caméra et de la neige: ça n'a l'air de rien, comme ça, mais c'est du bonbon.
*La vie moderne de Raymond Depardon: le vrai chouchou. Depardon y conclue sa trilogie des profils paysans, avec une empathie sans complaisance admirable. Redonne ses lettres de noblesses au terme feel-good movie.
*Gomorra de Matteo Garrone: voyage dans les arcanes les moins reluisantes de la mafia napolitaine, stylisation intense et naturaliste: du grand cinéma.
*L'homme sur le fil de James Marsh: l'autre vrai chouchou: 1h1/2 de funambulisme, de rêve et de poésie avec de bons gros morceaux de suspense dedans. Un enchantement.
*Séraphine de Martin Provost: Yolande Moreau trouve enfin un grand rôle dans celui de cette peintre naïve du début du siècle. Beaucoup de charme et de sensibilité
*La mémoire des anges de Luc Bourdon: à mettre dans tous les offices de tourisme du coin. Une ballade dans le Montréal d'antan via des archives de l'ONF, sans nostalgie mais avec une vraie célébration du passé.
*Sous la cagoule, un voyage au bout de la torture, de Patricio Henriquez: révoltant, choquant, aberrant mais aussi formidablement nécessaire. Du grand documentaire.
*JCVD de Mabrouk El Mechri: le plaisir coupable. El Mechri fait du Tarantino première période et transforme Van Damme en héros mélancolique et désemparé. Aware.
*Entre les murs de Laurent Cantet: histoire de vérifier que la palme d'or était bel et bien méritée pour cette observation méticuleuse (et un peu déprimante, il faut bien le dire) de l'école d'aujourd'hui.

Sans oublier, of course, Elle veut le chaos de Denis Côté et Derrière moi de Rafaël Ouellet, les deux amis d'ATC qu'on ne se lasse pas de ploguer.

À vous, maintenant.

Comments:
À vue de nez, quoique certains moins que d'autres et additionnels à plusieurs de tes choix:

-Hommes à louer et Lost Song(Jean)
-Hunger(McQueen)
-Les plages d'Agnès(Varda)
-Nuit de chien(Schroeter)
-Il Divo(Sorrentino)
-Tokyo Sonata(Kurosawa)
-The Hurt Locker(Bigelow)
-Surveillance(Lynch fille)
-Flame and Citron(Madsen)
-Le premier venu(Doillon)
-The three monkeys(Ceylan)
-C'est dur d'être aimé par des cons
(Leconte)
-Moi qui ai servi le Roi d'Angleterre(Menzel)
-The Tiger's tale(Boorman)en plus de l'hommage à son oeuvre.
-Second Floor(Villeneuve en court)
-Martyrs(Laugier)Horreur bien tassée il parait.

Foisonnante programmation indeed.
Have fun.
 
J'ai oublié l'hommage à Abdel
Kechiche :)
 
j'ai vu hunger et le kawase de 2007
incontournables
 
JCVD
Hunger
Tokyo Sonata
The Mourning Forest
Rétrospective Conner
À l'Ouest de Pluton
Deliverance si possible
Derrière-Moi
Chelsea On The Rocks
Moi qui ai servi le Roi d'Angleterre
Elle veut le Chaos
Les 2 films de Rodrigue Jean
Tokyo Marble Chocolate
Detroit Metal City

Dans la fin de semaine où je suis là!
 
Penchez-vous sur la programmation et ramassez tout ce que vous pouvez...
N'oublions pas le samedi 11 à la CQ, VOITURE DE LUXE de Wang Chao et samedi le 18 SECRET SUNSHINE (primé à Cannes en 2007) de Lee Chang-Dong, juste pour ajouter la cerise sur le gâteau.
J'attends aussi avec beaucoup d'impatience DELTA et TULPAN,
 
Et ne pas oublier l'extraordinaire rétrospective Georges Schwizgebel présentée à la Cinémathèque en collaboration avec le FNC le mercredi 15 octobre 18 h 30 ! :-)
 
Faudrait pouvoir se cloner!
 
Moi c'est La frontière de l'aube que j'ai hâte de voir...
 
Bien d'accord que le menu est alléchant.

J'ai vu aussi: Four Nights with Anna qui n'est pas très bon.

Surveillez ZIFT de Javor Gardev qui fait le tour des festivals (plusieurs prix à Moscou). C'est l'homme de théâtre bulgare qui m'a permis de trouver mes acteurs bulgares ;)

Delta est intéressant. Trop célébré par certains, trop méprisé par d'autres.

Le nouveau film de Jacques Doillon est pénible.

Cloud 9 est superbe.

Sûrement pas grand chose à Temps 0 sauf le très beau Tokyo Sonata.

Acné est modeste, sympathique, répétitif.

Dernier maquis serait un des plus beaux films de Cannes.

Grandrieux ferait du Grandrieux. C'est toujours mieux que du Lelouch qui fait du Lelouch ou du De Palma qui filme des maux de dents.

Eldorado est très bien.

La vie moderne est absolument extraordinaire.

J'avais pas remarqué que Secret Sunshine était à la Ciné: merci Jean.

Et le magnifique nouveau film de Claire Denis n'est pas au FNC pour une raison moche.

Et le film de Jiri Menzel était... au FFM en... 2007!

d.
 
le film de garrel est projeté en vidéo
si j'étais vous j'attendrais la sortie officielle
 
et Martyrs est un joli pétard mouillé.
 
Bien d'accord, j'étais aussi déçue par ce ronflant Martyrs...les 30 première minutes sont bien puis ça dérive, dérive, dérive
 
ça commence à sombrer quand les fantômes apparaissent.

Puis bon, l'aspect métaphysique du film aurait pu être intéressant s'il avait été mieux développé.

Un film qui ne tient pas du tout à sa réputation.

Je vous laisse pour aller me demander pourquoi Martin Bilodeau trouve que La frontière de l'aube est mal joué.
 
Merci pour Martyrs les amis.
L'horreur est sujet casse-gueule
à haut risque anyway.
 
Aujourd'hui :

- La forêt de Mogari

Bien. Rien de transcendant. Mon mal de tête super intense a sûrement pas aidé à mon appréciation du film. Deux scènes qui sont venues me chercher par contre.

- Rétrospective Bruce Conner

Tout simplement génial. Vraiment dommage que ça ne soit présenté qu'une fois. Déjà que la collaboratrice de Conner nous a dit qu'il n'y a pas de DVD à l'horizon (il était contre). Les courts avec la musique de Terry Riley et Brian Eno/David Byrne étaient à se lancer sur les murs.

- Detroit Metal City

Con, nippon, un auditoire gonflé à bloc. Belle expérience de visionnement. Récit on ne peut plus conventionnel malgré la prémisse : un jeune garçon timide devant concilier son amour de la pop et son identité secrète de dieu du death metal. Bel façon de décompresser en fin de soirée.

Voy A Explotar, Adoration et À l'Ouest de Pluton dans le collimateur pour demain.
 
Franchement, Hélène.

Vous écrivez je ne sais combien de descriptions des films dans le catalogue du FNC.

Et maintenant vous vendez le FNC par ce blog ou des articles sur 24 Images?


Conflits D'intérets.

Rien ne vous empèche de rester critique mais, pas pendsant ou à propos du FNC. Vous êtes la présentatrice. Comprenez?


Cedric Caspesyan
 
Pas d'accord, Cédric. Je ne fais pas ces descriptions pour les distributeurs des films, donc pas pour en faire la promo, mais comme vous dites, pour en faire une description.
C'est une nuance, peut-être, mais à mes yeux, elle est énorme.

Je ne suis pas la présentatrice, vous vous méprenez. J'écris des textes pour le catalogue, comme il est de tradition dans tous les festivals du monde, de demander à des critiques de le faire. C'est différent.
 
CASPESYAN IS BACK!!!!!!!
 
Dans le milieu des arts visuels, qui ressort plus de mon domaine que celui du cinéma, c'est en général assez mal toléré quand un ou une commissaire écris des articles ou fait de la promotion pour des artistes qu'il ou elle
a choisi de défendre dans les établissements culturels.

Je ne vais pas vous tordre un bras avec cela, ce n'est rien de bien grave, mais de mentionner que vous travailler pour le festival dorénavant, quand vous en faites la couverture dans vos articles, serait juste d'une toute petite délicatesse.

Philippe Gajan est critique depuis des années mais je ne me souviens
pas avoir lu un seul article de lui couvrant spécifiquement le FNC de quelque forme que ce soit.


Cedric is not back. Je retourne de l'autre coté de mon lac.


Cedric
 
Cedric, je crois qu'il est plutôt question de cas par cas. Helen, à ce que je sache, n'a pas programmé les films pour ensuite écrire une critique positive à leur sujet dans un magazine ou sur ce blog.

De plus, un texte dans programme sert avant tout à faire la promotion d'une oeuvre. Son auteur souligne rarement ses faiblesses ou alors les déguise habilement en qualités. Il ne s'agit donc pas d'une critique, plutôt d'un objet publicitaire. Cette distinction importante n'est pourtant pas reconnue par un grand nombre de cinéphiles et je crois que ta question se pose.

Dans mon cas, on m'a demandé cet été pourquoi avoir écrit un bon texte pour un mauvais film et j'ai du répondre « ce n'est pas une critique, ça ne représente pas nécessairement mon opinion. »

Mais là, j'en dis trop...
 
Voila, Simon, en fait tu soulignes la problématique.


Pourquoi les programmateurs du FNC n'engage pas simplement comme programmateurs ceux qui sont capable d'écrire sur les films.
Helen Faradji comme programmatrice du FNC? Why not? Elle écris déjà les trois quarts des descriptions (mdr).

Défendre un festival, c'est un rôle très critique. C'est d'indiquer que des films ont été choisi là oũ d'autres ont été ignorés. Peu importe que les textes ne font que vendre la salade. La critique a déja eu lieu, et c'est le rôle des journalistes d'y répondre.

L'éthique journaliste dans le domaine des arts sous-entend qu'il n'y a pas de parti pris. C'est diffile de ne pas avoir de parti pris quand un festival t'emploie.
On s'imaginerais mal miss Faradji dire "ben veyons, il est donc bien pourri le FNC cette année?". Ça ne ferais pas de sens qu'elle dise cela étant une employée du festival. Mais le respect du publique en critique sous-entend la possibilité qu'elle puisse penser et dire cela. Quand même elle ne penserait jamais une chose pareille (le FNC est bien trop mervelleux), le contexte met en cul de sac cette possibilité.


Et puis, fiez-vous donc pas à moi. Ask around. Helen a été très humble dans l'article ci-haut en ne mentionnant pas qu'elle a écris de nombreux textes pour le festival, mais je pense que ça mérite d'être mentionné car l'article se lit un tantinet comme une (positive) critique. Et les gens connaissent bien le rôle de critique de miss Faradji.


C'est quand même pas si mal ce que je propose? Que le FNC engage Faradji comme adjoint-programmation? Voyez je ne suis pas si méchant.


Cedric Caspesyan
 
Cedric, t'es pas méchant,
mais bien, emmerdant.

voilà, c'est dit.
ça fait trop longtemps que me retiens.

bon FNC à tous.
 
"Mon osti de chien sale toé. Osti de tabarnack de scramouche. Esti que j'm'en vas sur mon bike, man, drette là à ta porte, pis cré moé stique t'es mieux d'pas te retrouver là quand j'arrive à ta calisse de porte!"



(example typique de scénario du jeune cinéma québécois)


Cédric Caspesyan
 
Bon, c'était pas clair. Je disais: ne venez pas me parler de retenue.

Come On,

Cedric
 
Cédric? Emmerdant?
T'es poli mon Raf tout d'un coup.

Hey Cédric, veux-tu un VRAI conflit d'intérêt?

Imagine:
1-j'ai un film au FNC
2-j'ai écrit deux textes 'positifs' dans le catalogue sur deux films...
3-dont un qui est distribué par le distributeur qui distribue mon film...

Tananananaaaa! C'est-tu assez total et puant ça comme conflit, han?

Change de cible, viens m'attaquer!

Je retourne lire les synopsis des films dans le kétaloye du FFM.
 
faut pas confondre scénario et dialogue.
c'est élémentaire, quand même.

mais au fait,
de quel jeune cinéma québecois parles-tu?
j'ai jamais entendu (lu) un dialogue aussi ignoble.
tu confonds (encore) peut-être avec une vieille télésérie québecoise des années 90...

continue ta ronde mon Cedric.
il y a beaucoup de blogues à 'troller',
beaucoup de journaux auxquels écrire tes essentiels opinions,
et beaucoup de lignes ouvertes à appeler.
tes journées doivent longues...

raf
 
oh,
je viens de m'éduquer sur wikipédia
et j'ai reçu un excellent conseil de vie:

DO NOT FEED THE TROLLS.

end of message-
 
Do not feed the troll ouais. L'hiver s'en vient, ils cherchent de quoi faire provisions.
Si j'en revois un je lui dirai d'aller faire un tour de l'autre côté de son lac tâter le batracien.
 
Un Troll en compagnie des Ogres...

Denis tu n'es pas un critique.
Tu as le droit de faire ce que tu veux.

En effet Raf n'a pas été assez méchant, c'était mon message. Essayez "Ticoune" plutôt.

Trêve de ces enfantillages,
je continue de croire que c'est
mon droit en tant que lecteur de
24 Image de souligner un
problème critique. Ça n'a
rien à voir avec le trolling, ou
ce que je fais de ma vie.
Je ne viens ici qu'une fois
les 6 mois. Je sais, c'est déjà
trop, mais il y a une nuance
avec l'harcèlement.


Cedric Caspesyan
 
Ça donne donc le 16 avril 09
(Petit break)
 
Ah je savais qu'il reviendrait.
Me semblait que six mois, ça dure plus longtemps que ça d'habitude.

On a pas eu assez de Mickey,
v'là Mickey number two.
Numéro deux criss, comme dans Austin Powers.
 
Vraiment?...

Bon, Cédric, si tu as un pb avec 24 Images, pourquoi le soulever ici? ATC n'est pas le bureau des plaintes officiel de 24I.
Ensuite, tu te méprends, je ne suis pas employée du festival, j'ai seulement fait une pige pour eux. Quant à la différence entre un texte de catalogue et une critique, j'espère ne pas avoir à te l'expliquer.

Pour le reste, basta et revenons à l'essentiel: avez-vous vu La Vie Moderne de Depardon au festival? Il faut, c'est vraiment le genre de films qui rend moins bête.
 
ATC ou 24I, c'est la même chose. Vous êtes la rédactrice en chef.
Je ne pase pas par les commis de bureau.


+++Quant à la différence entre un +++texte de catalogue et une +++critique, j'espère ne pas avoir +++à te l'expliquer.


Peut-être il serait intéressant que vous expliquiez à vos lecteurs
ce qui peut les assurer que vos critiques du FNC ne sont pas en fait une forme de promotion plus ou moins cachée.

Laissez faire votre degré d'intelligence, il s'agit ici d'éthique et de respect. Respect envers vous, vos lecteurs, et les artistes, qui veulent peut-être vraiment savoir ce que vaut leurs films. Votre position ne garanti rien quant à l'honnêteté de votre travail. C'est pourtant simple: laissez d'autres pigistes couvrir le FNC à votre place.




Cedric Caspesyan
 
Cédric, pour répondre à la question que tu me posais : un bon programmateur n'est pas nécessairement un bon écrivain.

Aussi simple que ça.
 
C'est vrai, Simon. Et c'est naturel pour un commissaire d'inviter des écrivains pour établir l'argumentation d'une programmation. Ça se fait couramment.

Mais d'habitude le directeur prends soin de signaler aux auteurs de ne prendre de position critique face à l'événement. Ils peuvent participer à des interviews en tant que membre de l'équipe. Ça s'appelle de la promotion. Helen a surement vu ces films bien avant le festival pour préparer les textes. Elle fait partie de l'équipe. Elle connais le personnel, a serré bien des mains, y compris celles des artistes, etc... Elle est en conflits d'intéret, c'est simple? Elle ne fera jamais une boutade contre le festival au risque de ne pas être engagée de nouveau. Elle pourrais au moins mentionner dans ses articles qu'elle a travaillé pour le festival, mais elle ne le fais pas. Ceci n'aurais pas de signification si elle n'était pas rédactrice en chef d'un magazine réputé. Ça sent la clique et la mafia culturelle, et ce n'est pas juste. Tout comme les bons artistes qui se sont pointés au FFM méritaient mieux d'elle qu'elle ne ridiculise l'affiche. Elle a un parti pris, c'est son droit, mais c'est pas son droit de ne pas mentionner que ce parti pris l'emploie.


Tiguidou,

Cedric Ticoune
 
'la forêt de mogari' de naomi kawase
demeure ce que j'ai vu de mieux au FNC jusqu'ici.
et cette année, so far...

dernière chance de le voir sur grand écran,
demain dimanche, à 21h, cinéma duParc...

et qu'est-ce qu'on va faire quand le festival sera terminé?
 
On va passer l'Halloween déguisé en Caspesyan
 
moé le boulot et l'école bouffe tout mon temps. Pas pu voir la moitié de ce que je voulais.

Ben aimé Il Divo par contre, quoique en savoir un peu plus sur le bonhomme m'aurait aidé. La mise en scène par contre, oulàlà.

Curieux de voir Palermo Shooting demain, quelqu'un l'a vu ? Tant que c'est mieux que Land of Plenty.
 
Le Wenders est assez mauvais
il parait.(échos Cannois)
Verrai "Nuit de Chien" tantôt
et "Entre les murs" demain.

Si tu passes chez-moi dans
ce costume Denis je mettrai
une canice d'antisudorique
pour les pieds dans ton ti-sac.
En fait t'auras besoin d'une brouette pour la transporter.
 
Un vrai Cedric Caspesyan n'irais pas dans vos partys. Le costume est raté dès que vous m'y représenté.


Cedric
 
Gotta love the guy!
 
it's over
je ressens comme un grand vide
déjà.
 
Mon coup de coeur : The Mourning Forest... mais quel malaise d'entendre tant de soupirs dans la salle, et un ' I can't take this anymore!' dans ma rangée impatiente...

RIP : Remix Manifesto quelqu'un? Enfin, un documentaire sympa sur tout ce qui est copyleft.
 
Pis là kossé quié censé être bon à Cinémania à part Un conte de Noël et Le silence de Lorna ?

Chaque année, y'a quelques titres intéressants, mais là...
 
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